Pour ce quatrième volet, dont l’action se déroule en juillet 2000, nous voulions confronter Sivincci à une enquête officielle dans laquelle s’implique toute l’équipe. Nous désirions également un récit rapide et très resserré, un temps d’enquête  très court, opposée à un espace géographique plutôt étendu. L’intrigue est menée en sept jours et conduit  nos enquêteurs à travers tout le Val d’Oise et même en dehors des limites du Vexin, plus loin en France.
Après un premier homicide, à Versailles, sans mobile apparent, nos policiers sont rapidement plongés dans une suite de découvertes d’autres cadavres de jeunes femmes retrouvés dans le Val d’Oise. L’équipe, d’abord dispersée, se reforme très vite et se resserre autour de l’enquête qui se transforme en véritable course contre la montre avec le tueur.
Comme pour les romans précédents, nous avons semé au fil des pages quelques références à l’univers musical, littéraire et filmographique qui nous accompagne toujours.
Cependant, afin de rythmer le récit et de renforcer l’intrigue de ce roman un peu « différent » des autres, il nous a semblé nécessaire d’utiliser un morceau de rock français d’anthologie. Un grand merci à Patrick Coutin, qui nous a offert J’aime regarder les filles !